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Veo, étymologie du mot voyeur : le guetteur chez Saint Simon.
Jusqu'au XIXème siècle c'est le curieux, celui qui a cure, qui
prend soin de quelqu'un ou de quelque chose, le spectateur, le témoin,
celui qui rend compte. Enfin au XXème siècle, il devient une
perversion (de pervetere : bouleverser, mettre sans dessus dessous, un terme
psychiatrique désignant celui qui s'adonne à la pratique du
voyeurisme, celui qui veut contempler des personnes à leur insu.
Veo, c'est aussi 44 jours du 4 mars au 26 avril à Canteleu près de Rouen pour dresser de possibles portraits d'un morceau de ville à la lumière des différents sens de ce mot, en donnant vie et faisant évoluer un " voyeur " témoignant et rendant compte de parcours et d'univers de femmes à Bapeaume, Dieppedalle, Croisset, leur proposant de devenir l'autre personnage : la femme à suivre. Cliquez ici pour découvrir le projet (ouverture en plein écran) ![]() Projet écrit et dirigé par Stany Cambot. Collaborateur : Jason Meyrault. Création informatique : Pierre Commenge. Production : Stéphanie Fernàndez Recatalà. Construction décor : François Racine, Marie Emielot. Remerciements à Marc Hamandjian. Projet en collaboration avec le service des Affaires Culturelles de la Mairie de Canteleu (76) et cofinancé par le Conseil Régional de Haute-Normandie. |