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VENDREDI 21, SAMEDI 22 ET DIMANCHE 23 MARS 2025
Rouen

LES RENCONTRES DU CONT[r]E DE L’AXE SEINE

Par Echelle Inconnue

VENDREDI 21, SAMEDI 22 ET DIMANCHE 23 MARS 2025
Rouen :

LES RENCONTRES DU CONT[r]E DE L’AXE SEINE




Sommaire de la page :
- PRÉSENTATION GÉNÉRALE
- PROGRAMME
- LES LIEUX
- GÉNÉRIQUE
- GALERIE DE PHOTOS


PRÉSENTATION GÉNÉRALE

Il n’existe qu’un seul monde, et des moyens de le détruire supérieurs à ceux pour le sauver. Nous sommes cependant riches de présents mais aussi de futurs. Riches de la capacité de voir le futur qu’ils nous promettent mais aussi riches de celle d’en écrire de nouveaux, susceptibles de causer un maximum de dommages au leur.
Stany Cambot, Écrire sur les ruines du futur – Revue #11 d’Echelle Inconnue

En juillet 2024, Anne Hidalgo se baigne dans la Seine en compagnie du préfet alors que la police expulse des migrants des rives du Canal Saint-Denis. En quoi ces deux événements participent-ils de la construction d’un même projet ?
Tout comme y participent la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques d’été 2024 sur la Seine, l’élargissement des Nuits Blanches à 26 communes jusqu’au Havre, la création de la première Zone Économique Spéciale de France à Port-Jérôme-sur-Seine (76), un appel à manifestation d’intérêt pour une logistique urbaine fluviale décarbonée ou celle du projet touristique « La Seine à vélo », la création d’une société d’économie mixte pour le développement des énergies renouvelables, la construction des plus grandes unités de production d’hydrogène et de retraitement des matières plastiques au monde, ou la peinture impressionniste.

Nous voilà malgré nous devenus les personnages (secondaires) d’un « grand récit » : celui d’une métropole qui voudrait s’étendre le long d’un fleuve sur près de 300 kilomètres pour rejoindre la mer.

Une fiction dans laquelle, sans jamais l’avoir demandé, nous vivons désormais : « l’Axe Seine ».

Un conte de fée écrit dans la précipitation, dans un présent qui hypothèque le futur, relevant moins de la promesse d’un paradis sur Terre que de l’Arche de Noé – capable de flotter sur les mers concurrentielles du commerce international et, sans jamais rien lâcher de notre productivisme historique, de nous sauver de l’extinction programmée.

11 millions d’habitants, 28% à 35% du PIB français, 3 millions de conteneurs maritimes, 35% des entreprises étrangères implantées en France, 45 projets d’énergies renouvelables prévus d’ici 2030, onzième destination touristique mondiale… Tout à la fois corridor logistique, usine, espace de rédemption écologique, symbole identitaire et force d’attractivité, l’Axe Seine se dessine comme un projet « idyllique » dans lequel les contradictions n’en sont plus ; un territoire autonome où les contraintes (urbaines, juridiques, économiques, salariales, etc.) sont assouplies en vue d’un développement rapide – comme l’écrit Jacques Attali : « Il n’est plus loisible de prendre son temps là où la concurrence locale, régionale et mondiale, impose d’aller vite aux décisions ».

Un projet – bien réel – de transformation de la vallée qui s’étend de Paris jusqu’au Havre, en métropole industrialo-portuaire géante, sur le modèle de la Cité-État de Singapour. Une nouvelle entité territoriale prête à ringardiser l’État-nation pour jouer la concurrence avec d’autres villes-mondes.

Un récit total qui met en marche – et dans la même direction – l’ensemble de nos activités économiques, scientifiques, culturelles, éducatives… Appel à projets après appel à projets, rencontre après rencontre, l’Axe Seine finit par s’imposer comme une réalité pour les acteurs institutionnels, économiques, industriels et politiques. Et voilà déjà le modèle (dont on ne saisit pas les contours) prêt à être répliqué, comme l’affirmera un Président de la République enthousiaste, en visite à Marseille en juin 2023, insistant sur la nécessité d’un axe Méditerranée-Rhône-Saône, sur le modèle de l’Axe Seine et de son « tout en même temps ».

Pour construire, dans nos têtes en premier lieu, l’avènement naturel de cette nouvelle Rome, Constantinople, New-York ou Rotterdam, mille récits et actions s’agrègent, mêlant économie, innovation, logistique, chimie, BTP et, enfin, la culture… Qui doit finir de convaincre la population de l’évidence de ce projet. Mieux ! C’est aux mécaniques et outils de l’art, du spectacle et de la littérature, que le projet économique et politique fait appel pour unir ses acteurs – et nous-mêmes – en une culture commune.
Reproche est souvent fait aux artistes de mettre un pied dans le champ politique ; beaucoup plus rarement aux politiques de jouer aux artistes démiurges. C’est pourtant face à ce renversement que nous nous trouvons peut-être : l’avènement d’une ère post-nationale et post-politique portée par l’élaboration de nouveaux grands récits (disons) territoriaux, dont les fondements restent à interroger, et que les contestations locales peinent à ébranler – sa réalisation semblant si rapide qu’elle ne laisse le temps d’en étudier sérieusement les conséquences et leurs interactions futures.

Mais l’Axe Seine est-il vraiment le Récit auquel rien ne peut faire face ? Trop large et complexe pour être appréhendé par l’analyse.
Ou manque-t-il simplement la mise en (contre)récit de ce qui, en de nombreux endroits, s’y oppose, l’inquiète, interroge ou met en doute ses supposées finalités et résultats escomptés, ou refuse simplement de s’y dissoudre ?

Comme les récits des (en)dommag(e)és collatéraux de ce conte libéral, qui émaillent déjà le fleuve d’un chapelet de contestations : contre l’enfouissement des déchets du Grand-Paris, la construction de hub logistiques et de nouvelles routes, ou les pollutions, risques et nuisances, qu’engendrent les anciennes infrastructures industrielles et celles à venir... Autant de récits aujourd’hui parcellaires et fragmentés, qu’artistes et chercheurs seraient bien inspirés d’investir aux côtés de celleux qui les font vivre (si d’aventure une certaine souveraineté de l’art ou de la recherche demeurait souhaitable, et l’élaboration de récits artistiques et scientifiques salutaire) pour imaginer « des pouvoirs faire autrement », et dénaturaliser les futurs imposés.

Mais quels récits seraient à la hauteur de la démesure de celui qui s’est peu à peu imposé comme un programme voué à inexorablement se réaliser ?
Contre-cartographie ?
Littératures de l’imaginaire ? Hard-SF ? Anticipation ?
Cinéma ? Séries ?
Contes ?

Comment l’exercice de cette mise en récit permet d’en interroger, tant les possibles conséquences que les façons d’y échapper ? Comment, sans pour autant céder aux sirènes de la prédiction prospective, ces hypothèses narratives et fictionnelles peuvent-elles devenir cadre d’expérimentation ? Et permettre de « construire ou restaurer une forme de responsabilité collective à l’égard de ce qui n’est pas encore advenu mais qui pourrait constituer le futur » [Yannick Rumpala, « Ce que la science-fiction pourrait apporter à la pensée politique »].

Comment ces récits-mêmes pourraient livrer, à temps cette fois, la matière de la réflexion et de l’exploration scientifique et, de-là, quelles nouvelles alliances entre artistes, chercheurs et populations conviendrait-il d’inventer pour échapper à la domestication du futur ?

Voilà les questions qui animent ces Rencontres du Cont(r)e, invitant habitants, société civile, collectifs, artistes et chercheurs, riverains ou internationaux, à envisager quelle reconstruction des imaginaires impose le présent dont l’Axe Seine semble être le symptôme.
Voilà l’objet de ces rencontres : libérer le futur ou l’avènement des mots géants !


PROGRAMME

VENDREDI 21 MARS

20H00 / LECTURE-BATTLE POUR UNE COMÉDIENNE ET UNE VIDÉO : MISE À NU DE L'AXE SEINE
Strip-tease urbain et industrialo-portuaire
Avec la comédienne Agathe Lenne & Stany Cambot dans le rôle du video-jockey
Lieu : Echelle Inconnue


SAMEDI 22 MARS

10H00 / AXE SEINE. DÉCOMPOSER LES ZONES. COMPOSER LES SAVOIRS
Lieu : Echelle Inconnue

Conférence introductive de Stany Cambot – guitar leader d'Echelle Inconnue, architecte et réalisateur ;
Avec Julie Davainne – en charge de la programmation au sein d'Echelle Inconnue ;
Et Romane Soler – Doctorante en sociologie au laboratoire DySoLab de l’Université Rouen Normandie

10H45 / L'AXE SEINE, UN LABORATOIRE POST-POLITIQUE ?
Expérimenter de nouveaux modes de gouvernance. Démocratie, leadership et relations publiques
Lieu : Echelle Inconnue

Avec Michalis Lianos, Professeur à l'Université de Rouen, directeur de la revue de l'Association Européenne de Sociologie « European Societies » – qui a mené un travail de recherche sur le leadership partagé, la capillarité et le relayage dans la transition énergétique ;
Et Hugo Souza de Cursi, Chercheur (Université Paris Panthéon Assas et EHESS) – qui travaille notamment sur l'histoire des relations publiques ;
Séance animée par Stany Cambot

13H00 / PAUSE DÉJEUNER
Repas au Diable Au Corps - prix libre !

14H30 / FICTION. OU COMMENT CONTOURNER L'APOCALYPSE

1. La (science)fiction permet-elle de penser le territoire ?
Lieu : Le Diable au Corps

Avec Yannick Rumpala, Maître de conférence à l’Université de Nice, membre de l’Équipe de Recherche sur les Mutations de l’Europe et de ses Sociétés (ERMES), et du comité de Res Futurae, revue d’études sur la science-fiction. Il est également l'auteur du livre Hors des décombres du monde. Écologie, science-fiction et éthique du futur ;
Anne-Lise Melquiond, Docteure en études cinématographiques et chercheuse rattachée au laboratoire HAR à l’Université Paris Nanterre ;
Et Sébastien Doubinsky, enseignant chercheur à l'Université d'Aarhus (Danemark) et écrivain de science fiction ;
Séance animée par Stany Cambot

Au choix, soit 16H00 :
2. Atelier d'analyse du territoire de l'Axe Seine à partir de la nouvelle de Jean-Pierre Levaray, Alcali
Lieu : Echelle Inconnue

Après la théorie, la mise en pratique !
Avec Yannick Rumpala, Anne-Lise Melquiond, Sébastien Doubinsky et Stany Cambot
Atelier accompagné de lectures de la comédienne Agathe Lenne

Soit 16H00 :
3. Raconter (à partir de) l’accident industriel de Lubrizol. À quels temps se conjuguent nos récits ?
Lieu : Le Diable au Corps

Avec Enora Chopard, militante écologiste et ex-élue de la ville de Rouen ;
Simon de Carvalho, Co-président de l'Association des Sinistrés de Lubrizol (ASL) ;
Thierry Ribault, Chercheur en sciences sociales au CNRS, auteur de l'ouvrage Contre la résilience : À Fukushima et ailleurs ;
Et Jean-Pierre Levaray, écrivain libertaire, ouvrier de l'industrie chimique à la retraite ;
Séance animée par Romane Soler

18H00 / LE DROIT DE SE RÉAPPROPRIER
Face à l’extractivisme marchand et colonial : que dire de nos relations au(x) fleuve(s) et au vivant ?
Lieu : Echelle Inconnue

Avec luvan, autrice de science-fiction ;
Tom Llaro, doctorant en philosophie travaillant sur les droits de la nature ;
Et des membres de différents collectifs en lutte contre des projets logistiques fluviaux et routiers, à travers le monde :
- Les Soulèvements du fleuve (Québec) : nés de la rencontre de plusieurs luttes locales disséminées sur les territoires avec comme volonté de mettre en branle un mouvement de résistance au développement industriel, colonial et extractiviste, Les Soulèvements du Fleuve interrogent le « Projet Saint-Laurent », qui vise à transformer les basses-terres du fleuve Saint-Laurent en une sorte de Silicon Valley québécoise ;
- Stop Greendock, qui milite contre l'implantation d'une plateforme logistique de 90 000 m2, portée par Haropa Port et le promoteur australien Goodman, dans le port de Gennevilliers, à proximité de la zone Natura 2000 de la pointe de l'Île Saint-Denis ;
- Non à l’A133 - A134 : collectif en lutte contre le projet autoroutier dit « contournement-Est » de Rouen, ayant participé à la saison 5 des Soulèvements de la Terre par un festival et des actions menées pour protéger la forêt de Bord, en lien avec les Naturalistes des terres.
Séance animée par Romane Soler et Stany Cambot

19H30 / APÉRO, DÎNER & VIDÉOMATON DU DÉSASTRE
Venez vous faire tirer le portrait par l'équipe d'Echelle Inconnue !
Exercice de style face caméra : si l'Axe Seine est vraiment le paradis sur terre, que pourrait-il [ad]venir de pire ?
Lieu : Echelle Inconnue

Le vidéomaton est un dispositif léger (un fond noir, deux projecteurs, une caméra et des micros) pour partir à la rencontre de chercheurs et de spécialistes (du risque industriel et/ou naturel, de l'urbanisme, du transport, de l'économie portuaire, etc.) mais aussi des invisibles dont la parole est tue, impactés par les dérèglements d'aujourd'hui et de demain, déjà experts des dérives des systèmes économiques, politiques et territoriaux : citoyens, Voyageurs, militants, syndicalistes, ouvriers (fixes ou mobiles), dockers, pilotes de vélos cargos, Ubers et autres travailleurs de force, etc.
Un temps qui sera aussi l'occasion d'inviter les participants à proposer des scénarios dystopiques possibles ou, plus simplement, à envisager les modalités de l'aggravation de leur existence.
Pour en savoir plus : http://www.echelleinconnue.net/accueil/fiche5.php?id=18

21H00 / STAND-UP & CONTRE-CARTOGRAPHIE : « NOUS SOMMES LE GRAIN DE SABLE DANS LA MACHINE »
Lieu : Echelle Inconnue

5 minutes. Une scène ouverte. Un rideau rouge. Un micro. Une carte.
Pour présenter un conflit, une opposition, un contre-projet, une lutte, une inquiétude face aux projets qui constituent l'Axe Seine...

22H30 / SUITE DE LA SOIRÉE AU BAR LE 3 PIÈCES MUZIK'CLUB
Concert rock à la cave & techno-house au rez-de-chaussée
Lieu : Le 3 Pièces Muzik'Club – 41 Pl. du Général de Gaulle 76000 Rouen


DIMANCHE 23 MARS

11H00 / HABITAT MOBILE, PRÉCAIRE OU INDIGNE : EXPÉRIMENTATIONS LE LONG DE L'AXE SEINE
Lieu : Foyer Moïse
Avec Stany Cambot et Christophe Hubert pour Echelle Inconnue

11H00 :
1. Visite du Foyer Moïse – Maison Sénégal-Mauritanie construite à Rouen en 1969, et menacée de destruction

12H30 :
2. Du haut de Moïse : Axe Seine Vs Axe de l'indignité

13H30 / DÉJEUNER À LA CANTINE DES DEUX FLEUVES

14H45 / KAMA - Démiurge, harmonie des rêves, co-création
Mettre en récit la biodiversité de l'Axe Seine
Lieu : Echelle Inconnue
[sur réservation uniquement]

Jeu écrit et animé par luvan, autrice de science-fiction
Objectifs du jeu : créer un univers (quelle que soit son échelle) dans lequel se réalise une biodiversité fonctionnelle.
KAMA est réalisé dans le cadre d'un projet de recherche mené conjointement par le Muséum d'Histoire Naturelle, le CNRS et Sorbonne Université, visant à étudier la place des imaginaires dans l'invention de futurs partagés de transitions qui relient enjeux écologiques et enjeux sociaux.
Règles : jeu pour 6 personnes maximum, dont un·e facilitateur·ice, d’une à plusieurs sessions de 2h30, sans préparation pour les joueur·euses.
Chaque joueur·euse incarne le membre d’un groupe de personnages évoluant dans un univers neuf.
À son tour, en répondant à des amorces d’une table aléatoire, et en interaction constante, selon un protocole axé sur l’écoute et la bienveillance, avec les autres, i·elle décrit sa propre expérience de cet univers, et participe ainsi à sa création, tableau par tableau.


LES LIEUX

Echelle Inconnue, 11-13 rue Saint-Étienne des Tonneliers 76000 Rouen
Le Diable au Corps, 100 rue Saint-Hilaire 76000 Rouen
Le Foyer Moïse, 14 rue Moïse 76000 Rouen


GÉNÉRIQUE

LES RENCONTRES DU CONT[r]E DE L'AXE SEINE sont organisées par
Julie Davainne et Romane Soler

Dans le cadre de CINÉMA SUR LES RUINES DU FUTUR
Projet de fiction-documentaire sur la métropolisation de la vallée de la Seine
Écrit par Stany Cambot, produit par Echelle Inconnue & Les Films Déplanifiés

Avec
Christophe Hubert, producteur
Gérard Alegre, graphiste
Robin Marie dit Aumont, volontaire en service civique

Captations réalisées par Paul Navet et Roman Lathière

Régie générale : Clément Salomon
Technicien : Clément Pierre

Photographe : Justine Decroix


Par Echelle Inconnue

galerie

Retour en images sur la première édition des RENCONTRES DU CONT[r]E DE l'AXE SEINE

Lecture-battle pour une comédienne et une vidéo : mise à nu de l'Axe Seine. Avec Agathe Lenne

© Justine Decroix

Lecture-battle pour une comédienne et une vidéo : mise à nu de l'Axe Seine. Avec Agathe Lenne

© Justine Decroix

Lecture-battle pour une comédienne et une vidéo : mise à nu de l'Axe Seine

© Justine Decroix

Conférence introductive sur l'Axe Seine : décomposer les zones, composer les savoirs

© Justine Decroix

Conférence introductive, Romane Soler

© Justine Decroix

Table ronde : la (science)fiction permet-elle de penser le territoire ?

© Echelle Inconnue

Sébastien Doubinsky, Stany Cambot et l'avatar de Yannick Rumpala

© Justine Decroix

Anne-Lise Melquiond, Sébastien Doubinsky et Stany Cambot

© Justine Decroix

Table ronde : raconter (à partir de) l’accident industriel de Lubrizol. À quels temps se conjuguent nos récits ?

© Echelle Inconnue

Sébastien Doubinsky lors de l'atelier d'analyse du territoire de l'Axe Seine à partir de la nouvelle de Jean-Pierre Levaray, Alcali

© Justine Decroix

Table ronde : le droit de se réapproprier. De l'Axe Seine au Fleuve Saint-Laurent

© Justine Decroix

Soirée du samedi à Echelle Inconnue. Apéritif & Vidéomaton

© Justine Decroix

Soirée du samedi à Echelle Inconnue. Consultation des ouvrages du centre-ressource

© Justine Decroix

Projection des vidéomatons du désastre, William Acker

© Echelle Inconnue

Studio de tournage des vidéomatons du désastre

© Echelle Inconnue

Tournage d'un vidéomaton avec Hugo Souza de Cursi, Chercheur à l'Université Paris Panthéon Assas et EHESS, historien de la persuasion de masse et des relations publiques

© Echelle Inconnue

Dîner du samedi soir

© Echelle Inconnue

Stand-up et contre-cartographie de l'Axe Seine

© Echelle Inconnue

Du haut de Moïse : Axe Seine Vs. Axe de l'indignité

© Echelle Inconnue

Du haut de Moïse : Axe Seine Vs. Axe de l'indignité. Avec Stany Cambot et Christophe Hubert

© Echelle Inconnue

Début du jeu KAMA avec luvan

© Echelle Inconnue

L'autrice de science-fiction luvan pendant le jeu KAMA

© Echelle Inconnue

Clôture des RENCONTRES DU CONT[r]E DE L'AXE SEINE avec luvan

© Echelle Inconnue