Actualité Échelle Inconnue




MKN-VAN / quelques images du chantier





























Télévision urbaine tous les soirs depuis le 20 janvier



De la difficile question de l'ubiquité

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PIRATEBOX ?

Lundi 8 octobre 2012 et suite à la deuxième réunion du Hackerspace une pirate box a été déposée à l'atelier. Elle permet, dans un rayon d'une trentaine de mètre, de déposer ou de télécharger des fichiers en wifi depuis un portable (ordinateur ou téléphone).



Vous trouverez un descriptif explicatif ici Et, pour aller plus loin, un historique de la création des pirates box là sans oublier un wiki par là

medialab, hackerspace ou fablab ?

Soumis aux vagues des modes sémantiques et de leur cours sur le marché de la communication institutionnelle, les lieux de pratique et de réflexion sur le numérique se voient accolés régulièrement d'étiquettes anglophones aux consonnances "de pointe". Essayons d'en prendre trois : medialab, hackerspace, fablab et voir ce qu'ils ont dans le ventre :

Medialab : à l'origine un laboratoire prestigieux du MIT fondé en 1985, espace de recherche plus ou moins informel dédié à la prospective technologique, bénéficiant de soutiens institutionnels et de partenariats privés. On y travaille sur le design d'objets communicants, de nouveaux services en réseau, à la "vie du futur" nécessairement technologique. Transposé à l'hexagone, le medialab a une mission pédagogique et d'éducation populaire, d'échange de savoirs, de diffusion de la création numérique, plus rarement de laboratoire. Ces lieux sont issus du réseau des EPN / ECM, réunissent animateurs de réseau et médiateurs, et bénéficient du soutien de collectivités, parfois en échange de l'application de programmes nationaux, avec lesquels ils doivent composer dans une autonomie plus ou moins éclairée. Selon le lexique de l'économie créative, le terme est obsolète et il faut lui préférer hackerspace ou fablab.

Hackerspace : Contrairement à ce que dit le journal du grand rouen, c'est d'Allemagne plutôt que des Etats-unis qu'il faut chercher l'origine des hackerspaces tels qu'on les connait aujourd'hui. En cherchant du côté du CCC (Chaos Computer Club) qui existe depuis les années 80, et des lieux qui apparaîtront dans les années 90 : C-Base à Berlin ou C4 à Cologne. Puis en 2006, le metalab de Vienne posera les bases de fonctionnement de ces lieux qui se développent depuis lors. Avec pour principes : l'ouverture de lieux pour l'échange de connaissances sur l'usage créatif de la technologie, la rencontre en pair à pair, sans médiation (mais trop souvent entre jeune blanc mâle), l'autogestion et l'autonomie financière, sans soutien institutionnel, sans programme "citoyen". En France, le /tmp/lab ouvre ses portes fin 2007 à Vitry sur Seine, puis d'autres lieux suivront : Breizh Entropy à Rennes, Tetalab à Toulouse, etc. Un but était aussi de réhabiliter le terme de hacker, le sortir de la confusion entretenue par les médias avec le "pirate". Dans les hackerspaces, on s'intéresse surtout au code, au hardware, aux réseaux (sécurité, anonymat, réseaux pairs à pairs, piratebox, etc.). Ce sont des communautés de pratique, sans nécessairement un unique projet commun, mais réunissant des personnes impliquées dans des projets libres logiciels ou hardware désireux d'échanger leurs connaissances.

Fablab : encore un terme issu du MIT (prestige assuré), plus précisèment de Neil Gershenfeld du CBA (Center for Bits and Atoms). Basé sur le principe d'un atelier de fabrication ouvert, orienté hardware, utilisant des machines à commande numérique (imprimantes 3D, fraiseuses, etc.) pour fabriquer toutes sortes d'objets. Le fonctionnement du fablab peut être autogéré, institutionnel voir réservé à un certain public (les étudiants d'une école, etc.).
Ce terme atteignant des côtes himalayennes sur le marché de la communication autour de l'innovation, il acquiert le statut de posture incontournable dans la pornographie institutionnelle, susceptible d'attiser le désir des décideurs et d'accéder à des mannes budgétaires, tout le monde le veut.

Une lecture pour poursuivre : hacking the spaces

présentation de Mobio à Brest

mobio

Présentations du projet Smala / Ecouter chuchoter les murs / Mobio à Brest le 9 décembre 2011.

Une première présentation sera plutôt généraliste et à destination des personnes ou structures intéressés par l’aspect territoire et mise en valeur de créations sonores, ou il sera plus particulièrement question de la genèse du projet et des choix technologiques (sans trop rentrer dans le détails) qui ont été fait en conséquence. Une petite démo d’un MOBIO est également prévue.

Vendredi 9 décembre 2011 à 15h30 à l’Hôtel de Ville, salle Chertemps

Elle sera suivie le soir, d'une seconde présentation plutôt dédié aux aspects techniques de mobio (matériel, géo-localisation etc) du projet et se fera en parallèle de la réunion hebdomadaire de la Maison du libre.

Vendredi 9 à 21h au local d’Infini 25, rue Fautras à Brest



Publication de la documentation de mobio

mobio breadboard

Publication de la documentation de MOBIO, dispositif d'écoute mobile géolocalisé, développé durant le projet Smala « Ecouter chuchoter les murs » à Marseille en 2010 (Pour plus d'informations sur le projet, à lire : Smala Marseille, à écouter en ligne : montages sonores).

Mobio est un lecteur de sons (fichiers MP3 sur carte SD) géolocalisé par un GPS. La sortie sonore se fait via un haut-parleur à vibrations qui a la particularité de faire résonner la matière des murs (bois, métal, verre, etc.)

ici : documentation mobio

encodeur de QR-code

Un outil développé par Pierre Commenge pour Échelle Inconnue disponible gratuitement.





En 2007, dans le cadre du projet smala, nous est apparue la nécessité d'éditer de manière simple et rapide des QR code sous différents formats de fichier.
C'est à cette occasion que ce générateur en ligne de QR-code fut créé. Nous mettons aujourd'hui la première version de cet encodeur à disposition du public.

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télévision urbaine

de la difficile question de l'ubiquité.

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LA NIGLOBOX À DIEPPE

La Niglobox sera présente au Pollet (un quartier de Dieppe) dans des lieux publics jusqu'à la fin du mois de juin 2015.
Premier lieu d'accueil : le bar "Le Mieux ici qu'en face" pour le mois d'avril 2015.

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